L'abbaye d'Ardenne a été fondée au 12ème siècle par
Ayulphe Marché et sa femme. Elle se situe à Saint Germain la
Blanche Herbe en Normandie. Dans l'Abbaye il y a la porte
Saint-Norbert, la Grange aux dîmes, les écuries, la Porte de
Bayeux, les étables, le Jardin des Canadiens, le pressoir, le
farinier, l'abbatiale et le pavillon des archives.
Durant la 2nde Guerre Mondiale les Allemands ont
occupé l'Abbaye car depuis le haut de l'église ils pouvaient voir
les plages et surveiller le débarquement des alliés.
La famille VICO habitait l'Abbaye d'Ardenne dont
plusieurs membres de la famille furent des résistants.
Le père étant le maire de Saint Germain la Blanche
Herbe de l'époque, il a participé à la résistance en faisant des
faux papiers aux jeunes afin de les rajeunir pour leur éviter le
Service de Travail Obligatoire (STO ) en Allemagne. Les fils Vico
ramassaient les parachutes et les armes larguées des Anglais et les
cachaient dans les écuries. Les parents ont été arrêtés par les
Allemands car ils ont été dénoncés pour leurs actes de
résistance.
Lorsque les Allemands occupaient l'Abbaye, les Canadiens
ont essayé de la libérer mais ils ont échoué. 23 Canadiens ont
été fait prisonniers dans les étables. Le lendemain ils ont été
assassinés dans le « Jardin des Canadiens ». Après
cela, il a fallu aux Canadiens un mois pour récupérer l'Abbaye. Un
monument en honneur aux Canadiens tués a été construit, nous
sommes allées le visiter. Chaque 7 juin, une cérémonie est
célébrée en leur honneur, le plus souvent en présence de
l'ambassadeur canadien, de citoyens canadiens et représentants
français.
L'IMEC
(Institut Mémoires de l'Édition Contemporaine):
Institut
:
c'est une association d'intérêt général qui transmet des mémoires
d'édition, d'écrivains, de réalisateurs...pour permettre à
d'autres personnes d'interpréter l'histoire.
Mémoires
:
permet la confrontation des mémoires et l'élaboration de l'histoire
grâce aux archives.
Édition
contemporaine : fonds
d'auteurs du 20ème et 21ème siècle.
L'IMEC a été fondée en 1988 et était installée à
Paris. A la fin des années 80, le projet de l'IMEC a été proposé
à l'Abbaye d'Ardenne et donc transféré là-bas.
L'IMEC a été créée pour permettre à de nouvelles
personnes de faire progresser la recherche historique et permet aux
chercheurs de consulter les archives dont ils ont besoin.
Les
archives conservées sont des fonds d'éditeurs ( Larousse,
Flammarion), d'écrivains ( Marguerite Duras... ), d'auteurs...
Ils gardent en particulier leurs manuscrits, livres,
objets, lettres...
Aujourd'hui, l'abbatiale abrite la bibliothèque de
l'IMEC pour les chercheurs. Avant cela elle servait à stocker le
foin mais malheureusement pendant la guerre elle a été détruite
puis rénovée pendant 30 ans.
Pour éviter les écroulements du plafond ils ont
remplacé les voûtes de pierres par des voûtes en bois.
L'architecte qui a réalisé sa rénovation, a voulu
garder la mémoire de l'église en mettant des armoires dos à
l'entrée pour cacher les livres et garder le principe que lorsque
l'on entre dans une église nous regardons le plafond et faire comme
si nous étions attirés par le ciel ou le paradis....
Puis nous avons visité les sous-sols, là où sont
archivés les livres. Le guide nous a expliqué le processus pour
archiver les documents :
les documents arrivent de tous les coins du monde, ils
sont stockés en l'état dans une salle.
Avant d'être triés ils passent au dépoussiérage si
besoin.
Les documents sont ensuite emmenés dans une salle où
ils sont triés et rangés par boîte.
Ensuite ils sont rangés dans les rayonnages.
Nous avons trouvé cette expérience intéressante et
enrichissante, les guides étaient très impliqués dans la visite.
Les lieux était très jolis et l'histoire de ces lieux également.
C'est un endroit rempli d'histoire tout au long de son existence
depuis sa fondation jusqu'à nos jours.
Ce
cimetière a été fondé en 1956 juste au dessus des plages du
débarquement d'Omaha Beach, dans la commune de Colleville-sur-mer
dans le Calavados. Inauguré officiellement par son mémorial ce
cimetière honore les soldats Américain mort pendant la bataille de
Normandie lors de la seconde guerre mondiale. Le cimetière est gérer
par l'American battle Monuments Commission.
Au
cimetière Americain de Colleville-sur-mer reposent 9387 soldats
Américains dont 149 Juifs qui sont représentés par une étoile
alors que les autres ont une croix blanche. Un mur est consacré aux
disparus.
Dans
le mémorial nous avons pu observer des symboles du débarquement, le
bassin représente les plages du débarquement, le toit par sa forme
arrondie, représente le parachute des soldat, la haie tout autour du
bâtiment représente le bocage Normand, obstacle pour les militaires
puisque l'ennemi pouvait si cacher et les parachutistes se prendre
dedans. Dans ce mémorial sont aussi exposés les pièges
crées par les alliés pour tromper l'ennemi pendant la préparation
du débarquement (qui a commencé fin 1943 pour débarqué le 6 Juin
1944.) Comme: les faux papiers, les faux chars, parachutistes et les
messages codés.
Pour beaucoup d'élèves
la première impression était de la tristesse et de l'émotion,
certaines ont ressenti de la fierté pour les soldats défunts qui se
sont battus, ont perdu la vie pour un pays qui n'était pas le leur.
Nous sommes arrivées à St Vaast la Hougue vers 13h00, nous avons mangé dans le restaurant « le Débarcadère ».
Depuis le débarcadère, nous avons longé la plage pour arriver à la tour de la Hougue. Nous avons bénéficié d’une vue exceptionnelle car c’était marée basse. En longeant le sentier, nous avons pu voir les parcs à huitres, où les ostréiculteurs récoltaient des huitres sans doute en vue des fêtes de fin d’année.
Nous avons fait le tour de la pointe en marchant sur les fortifications, puis nous sommes arrivées à la chapelle des marins. C’est un lieu voué au souvenir des marins péris en mer. Sur les murs, il y avait des plaques à leur mémoire.
En face de la jetée, se trouve l’île de Tatihou, sur laquelle nous pouvions apercevoir les vestiges des tours, des remparts, construits par Vauban en 1694. Nous n’y sommes pas allées et n’avons donc pas pu prendre le bateau amphibie (avance avec des roues à marée basse, et à moteur à marée haute).
Tout en visitant le centre-ville, nous avons été reçu par Mme Fesnien qui nous avait préparé des gâteaux aux pommes Normandes cultivées par Marcel (c’est une personne âgée avec laquelle nous avons correspondu pendant 1 an et demi et que nous allons rencontrer vendredi).
Aujourd’hui, nous sommes allées au cimetière allemand de la Cambe. Avant d’atteindre le cimetière, nous sommes passées dans une immense allée d’arbres. Chacun d’eux représente un soldat allemand mort pendant le combat. Chaque arbre a été offert par un parrain qui souhaitait honorer la mémoire d’un soldat. C’est une allée impressionnante. L’entrée se fait en passant devant deux rotonde, dans la première, on pouvait y trouver les registres des noms des victimes allemandes, puis dans la seconde, il y avait des photos de différents cimetières dans différents pays où reposent des soldats ayant combattu pendant la seconde guerre mondiale. Ensuite, nous avons aperçu le cimetière où l’on pouvait voir des séries de cinq tombes noires alignées, réparties sur toute la surface du cimetière. Au centre, se trouve une statue représentant une croix avec un homme et une femme de chaque côté. Pour finir, nous avons visité un musée qui reprenait les étapes de construction du cimetière et les grands moments de la guerre, en passant par quelques témoignages de paix exprimés par différentes personnalités. En lisant sur les tombes, nous avons pu constater que la plupart étaient de jeunes gens âgés entre 18 et 25 ans. Cela nous a émues, gênées, attristées, cela appelait au respect.
Nous avons commencé
notre journée par la visite des caramels d'Isigny. La ville d'Isigny
compte 1200 habitants, elle est entourée de marais ce qui empêche
la culture des terres, c'est pourquoi elle s'est tournée vers
l'élevage de vaches normandes (marron et blanche).
La production de lait est
utilisée pour faire du fromage, de la crème, du beurre … ne
sachant pas comment utiliser le surplus de lait ils diversifièrent
leur production avec la création des caramels.
L'usine que nous avons
visitée est récente (ouverte en 1994). En effet les précédents
producteurs de caramel se sont installés dans le département voisin
suite à des problèmes financiers et la commune d'Isigny a souhaité
réimplanter ce savoir-faire.
La galerie du caramel
propose d'observer le déroulement complet de la production de
caramel à travers des vitres surplombant les ateliers (hygiène,
sécurité, meilleure visibilité)
La guide nous présente
ensuite les différents ingrédients de la fabrication des caramels :
sel de Guérande
eau
sirop de glucose
sucre de cristal
lait entier en
poudre
beurre (salé ou
non)
La recette traditionnelle
est celle du caramel à la vanille. Cette recette de base est
déclinée en 70 recettes. La caramèlerie propose également des
coulis, des crèmes de caramel, des caramels durs, des pop-corns, des
biscuits ainsi que des pépites pour les pâtisseries.
Les objectifs du musée :
Présenter
l'entreprise et la diversité de sa production (pas de commerciaux)
Comprendre que le
caramel n'existe pas que sous forme de bonbon
Mettre l'accent sur
le côté artisanal de l'entreprise
Le personnel est composé
de 20 salariés dont 4 hommes qui travaillent principalement en
cuisson, 6 femmes polyvalentes également à l'atelier, 2 personnes
chargées de la communication, une responsable qualité... et
actuellement un directeur, Éric Pelletier.
Les chiffres clefs de
l'entreprise sont impressionnants car ils produisent 1,5 tonnes de
caramels en moyenne par jour, 11000 bonbons par cuisson, 22 millions
de caramels par an ou encore 320 tonnes de caramel par an.
La fabrication du caramel
s'est considérablement développée mais elle évoque toujours une
tradition, une saveur authentique des produits régionaux ainsi que
le goût du terroir.
Nous avions une carte de Caen et nous devions découvrir 8 sites incontournables dans la ville. Le bus nous a déposées en face du jardin des plantes.
En premier lieu, nous devions repérer l’église St Julien. C’est une église contemporaine, elle est atypique de par sa forme ovale.
Ensuite, nous nous sommes dirigées vers le château Ducal érigé en 1060 par Guillaume le Conquérant.Il y avait de profonds fossés et une muraille très élevée. A notre époque, il ne reste plus que les ruines du château.
Puis nous sommes allées dans un vieux quartier de la ville : « le Vaugueux », nous avons pu admirer des maisons traditionnelles Normandes, à colombages.
Nous avons fait un arrêt à la librairie du Calvados, dont la devanture est d’époque, avec des colonnes en boiseries.
Puis nous avons fait une pause place St Sauveur, où nous avons profité du marché de Noël.
Enfin nous avons terminé par l’abbaye aux hommes, d’architecture Romane Normande, à l’intérieur se trouve le tombeau de Guillaume le Conquérant.
Nous sommes arrivées à 9H30 au mémorial.
Nous avons été divisées en deux groupes pour la visite.
Les deux objectifs du Mémorial :
Préserver la mémoire
Communiquer un message pour la paix.Le mémorial a été construit à l’initiative de l’ancien sénateur maire de Caen Jean Marie GIRAULD, en poste pendant 31 ans. Il a été placé dans cette ville qui a payé un des plus lourds tribus du débarquement, 80% de la ville a été détruite.
LA GUERRE EN FRANCE :
Le 3 septembre 1939 débute une guerre éclair et les chars allemands suivis des soldats et des avions détruisent tout sur leur passage. Suite à l’invasion de la Pologne, la France et la Grande Bretagne déclarent la guerre à l’Allemagne.
La France est divisée en deux parties : La zone occupée et la zone libre (les Allemands se positionnent dans le Nord de la France pour contrôler les mers et les ports).
Pétain choisit Vichy comme capitale de la zone libre car il avait pour but de ressourcer et d’embellir la France, Vichy étant une station thermale, la métaphore était d’autant plus forte.
LA COLLABORATION :
Le Maréchal Pétain collabore avec Hitler en signant l’armistice à Compiègne en 1940 et pratique une politique de propagande (manipuler l’information pour convaincre la population).
Les Français collaborent de différentes façons : fournir du matériel aux Allemands, dénoncer des résistants, des juifs…
LA RESISTANCE :
Le général De Gaulle refuse l’armistice et appelle les Français à résister depuis la Grande-Bretagne. L’appel du 18 juin 1940 marque le début de la résistance française.
De Gaulle nomme Jean Moulin comme chef de la résistance française intérieure (FFI Forces Françaises Intérieures).
La résistance prend des formes différentes : communication (journaux édités par des imprimeries clandestines, radio….), la résistance armée (les maquisards) et la résistance passive (silences face aux ennemis, les illustrations patriotiques).
Puis, le guide nous a fait découvrir la salle présentant le génocide juif (la Shoah) et nous avons observé l’unique photographie existante de la rafle du Vel d'Hiv. C'est cette Rafle qui a inspiré la nouvelle de Philippe Claudel Pierrot Lunaire que nous avons étudiée en cours.
Nous avons découvert les salles présentant les camps de concentration et d’extermination. Le guide nous a rappelé la différence entre les deux. Dans les camps de concentration sont enfermés les détracteurs politiques, les criminels, les homosexuels et toute personne prise dans des rafles. Ces personnes étaient utilisées comme main d'oeuvre au service des grandes entreprises allemandes. Les camps d’extermination avaient pour but de tuer en masse un grand nombre de personnes, essentiellement des Juifs.
Grâce aux Alliés et au débarquement du 6 juin 1944 sur les plages Normandes et les 5 jours de la bataille de Normandie, un deuxième front est ouvert.
Tout s’enchaîne, les différentes villes sont libérées et l’armistice est signée le 8 mai 1945.
Grâce à la mobilisation des femmes dans la résistance et durant les combats, elles obtiennent une reconnaissance essentielle : le droit de vote en 1945. Suite à cette guerre et ses atrocités, suivra la création de la Sécurité Sociale.
Cette longue et interminable guerre mondiale aura fait plus de 60 millions de morts dont 35 millions de civils.
Nous
sommes la classe de seconde ASSP (Accompagnement, Soins et Services à
la Personne). Notre journée s'est déroulée le jeudi 10 septembre
2015. Nous sommes partis à 13h30 du lycée à pied, jusqu'à
l'hôpital. Lorsque nous sommes arrivés, on s'est divisé en deux
groupes pour que la visite se passe au mieux.
Nous avons
rencontré plusieurs personnes : une cadre de santé et une
infirmière. Cette visite a été organisée dans le but de nous
faire découvrir une des structures où nous pourrons travailler plus
tard.
Dans le
bâtiment des urgences on trouve une salle d'attente, des boxes de
consultations, un service de gynécologie, de biologie,
d'échographie, de radiologie qui sont équipés d'une vitre en
plomb pour protéger le personnel des rayons X.
Dans la voiture
du SMUR, le matériel est vérifié après chaque changement
d'équipe, il est aussi scellé pour être toujours disponible.
Les médicaments sont rangés dans un frigidaire situé dans le coffre. La
radio est reliée au 15 et 18. Depuis quelques temps, le personnel du SMUR porte une
tenue spéciale pour les interventions.
Le
bâtiment de l'EHPAD (Établissement d'Hébergement pour Personnes
Âgées Dépendantes) comprend trois étages. Le service
d'administration est situé au rez-de-chaussée, au premier étage
c'est la médecine, et les deux derniers étages sont réservés aux
résidents avec leurs salles d'animations, de restaurations, de
soins... Dans le service de médecine, on compte 25 lits, celui des
soins de longues durées en a 30, 90 en gériatrie, 40 en SSR (soins
services en repos) et 61 lits sur l'hôpital. Dans ce bâtiment il y
a des animatrices à pleins temps, des aides-soignantes, des infirmières,
une assistante sociale, et une diététicienne. Ils ont aussi des locaux
techniques, pharmacies, laveries... Le personnel de ce service est davantage dans les
soins relationnels.
A leur arrivée, les stagiaires doivent avoir une convention de PFMP
(période de formation en milieu professionnel), se présenter à
8h30 le lundi matin, avoir sa tenue de travail ainsi que les
chaussures, apporter un cadenas pour les vestiaires, et enfin présenter le livret de stage avec les objectifs et la feuille d'évaluation à leur tuteur.
Il
faut être discret, garder le secret médical, respecter les autres, être à l'écoute de l'équipe et en fin accepter les remarques pour améliorer ses pratiques professionnels.
Le
personnel a depuis quelques années du nouveau matériel médical comme le
lève malade, les chaises à roulettes, un verticalisateur, des planches
de transfert (roller), des lits électriques. Tout cela favorise l'ergonomie au travail.
Dans
ce métier, il faut vraiment être motivé et volontaire. La visite
nous a permis d'acquérir des connaissances, de mieux comprendre le
monde du travail, son organisation, et de nous oter quelques appréhensions que nous avions pour les PFM.
Nous remercions l'infirmière et la cadre de santé qui ont pris de leur
temps de travail pour pouvoir nous accueillir.
Le
jeudi 17 Septembre 2015, les trois classes (seconde, première et
terminale)
d'ASSP (Accompagnement Soins et Services à la Personne), et les
professeurs de matières professionnelles, (Mme BONNET, Mme ROUSSEL,
Mme ROYET, Mme FRANCK et Mme CHALVIN) se
sont
retrouvés à
l'Auditorium pour passer la journée ensemble. Cette journée
leur apermis de créer
de nouvelles affinités et de renforcer les liens du groupe et aux
secondes de connaître un peu plus la filière.
La
matinée s'est déroulée
ainsi:
Les
terminales
nous ont présentéles différentes matières professionnelles.
Les premières nous
ont fait visiter les différentes salles professionnelles,
( salle de
collation, salle d'animation, salle de TP ( Travaux Pratiques)
soins, les vestiaires, le local ménage, la laverie et
l'infirmerie).
Le
midi, nous avons pique-niqué
dans la salle de TP soins et de collation, car le temps ne
nous a
pas permis de pouvoir pique-niquer
en plein air.
L'après-midi,
nous nous sommes rendus au gymnase pour faire des activités
collectives.
Tout
d'abord, Mme FRANCK nous acréé des groupes,
ce qui a permis aux différentes classes d'ASSP d'apprendre à se
connaître.
Les
équipes était nommées en fonction des différents métiers que
l'on peut pratiquer
dans la filière.
Les
jeux étaient les suivants: - Les relais
-
Course aux sacs (Pieds attachés)
-
Jeux de la chaise
-
La chasse à l'ours
Après
toutes ces activités, Mme FRANCK a
fait un classement. Les équipes qui ont fini 1er,
2eme et 3eme ont
eu un diplôme.
La
fin de cette journée s'est
terminéepar un goûter collectif.
Chaque élève qui
n’étaitpas interne a apporté
une boisson ou un gâteau.
Nous
remercions les professeurs des matières professionnelles
qui ont organisé cette journée afin que les trois classes d'ASSP
puissent se rencontrer.
Le
11 Septembre 2015 nous avons été à CHALAIN pour la journée
d'intégration en compagnie des secondes 4 et des secondes 5. Le but
de cette rencontre a été de souder notre classe grâce à l'esprit
d'équipe qui est nécessaire dans notre filière et également
d'apprendre à connaître les autres classes de seconde.
Pour
commencer cette demi-journée, nous devions présenter nos classes
par une chorégraphie dont la nôtre était de se mettre en ligne
avec un petit bracelet en pompon avec des cartons où l'on avait
écrit « Nous sommes les ASSP accompagnement soins service à
la personne »
Puis
nous avons participé à une course d'orientation dans laquelle
commençait les séries de questions qui portaient sur notre culture
jurassienne. Nous sommes arrivés 3 ème position.
Nous
avons combattu au tir a la corde contre les 2 classes de secondes,
cette activité nous a permis de travailler main dans la main pour
arriver à notre but qui était de remporter cette étape, nous avons
réussi notre défi, nous étions en tête.
Pour
poursuivre nous avons fait une course en sac composé de 4 personnes
de la classe, où nous sommes arrivés 2 ème mais nous nous sommes
bien amusés durant cette étape, surtout avec les chutes.
Pour finir
cette journée nous avons fait une course en canoë, en s'aidant
mutuellement pour gagner de la rapidité, nous sommes arrivés les
derniers mais nous ne le regrettons pas. Nous avons tout mis en œuvre
pour réussir cette journée et nous en sommes fiers. Nous avons
montré un grand dynamisme et nous avons été sérieux toute la
journée, ce qui fait partie des qualités requises en ASSP. En
rentrant de CHALAIN nous avons décidé de prendre une photo de
classe avec nos professeurs pour immortaliser ce moment.
Nous avons eu la visite de Céline, de
Terminale ASSP qui nous a raconté son séjour en Roumanie du 20 au
24 Avril. Nous l'avons interviewée :
Où es-tu allée exactement ?
Nous sommes allées à CRAIOVA, une
grande ville de 350,000 habitants.
Quel était le but de ce séjour ?
C'était de comparer la place de la
personne âgée dans notre société avec les autres pays
participants,
des Roumains, des Italiens, des Turcs,
des Polonais, des Léttons, des Grecs, des Tchèques et nous.
Et comment avez-vous communiqué ?
En anglais mais les Roumains et
d'autres nationalités avaient un bien meilleur niveau.
Quelle est la monnaie utilisée ?
Des Lei.... Il faut diviser un euro par
4 pour faire la conversion. L'eau était très cher par contre j'ai
pu m'acheter une robe pour 3 euros.
Quels moyens de transport y-a-til en
Roumanie ?
Le taxi est vraiment bon marché....Mais
on a aussi vu des charettes tirées par des ânes en dehors de la
ville.
Qu'est-ce qui t'a surpris ?
Les repas ! Ils mangent 6 fois par jour
mais en petite quantité. Et seulement des fruits en dessert.
La pauvreté et le mauvais état de
certains habitats. Certaines personnes vivent dans une pièce unique
qui leur sert de chambre, de cuisine et pièce à vivre.
En revanche, les Roumains vivent
beaucoup la nuit : les magasins restent ouverts jusqu'à point
d'heure...
L'école était-elle différente ?
Oui elle accueillait des élèves de la
primaire à la terminale.
Quelles activités as-tu fait ?
De la poterie sur un tour traditionnel
: c'est sportif, fatiguant, difficile et ça coupe et il était de
comprendre les explications
On a aussi fait de la tyrolienne, du
tir à l'arc et du buggy.
On a visité l'école, la mairie,
l'université, la ville, le parc.
Y avait-il de la pollution ?
Pas vraiment... C'était même plus
propre que chez nous !
Ecrit
par Alice KUIPERS née à Londres en 1979 « Ne t’inquiète
pas pour moi » est son 1er
roman.
C’est
un roman épistolaire émouvant entre une fille étudiante et sa mère
très occupée par son travail. La communication passe par un échange
de post-it déposés sur la table ou le frigo. Puis, un jour la mère
tombe gravement malade…
J’ai
beaucoup aimé ce roman, l’histoire est très réaliste, elle nous
tient en haleine jusqu’à la fin. Je le recommande vivement car il
est très bien écrit. De plus, ces post-it ressemblent à des sms,
ce qui rend la lecture plus originale et agréable.
Il
y deux passages que j’ai beaucoup aimés : le 1er
page 237 « Je suis allée au groupe de soutien aujourd’hui
et Mary m’a suggéré de t’écrire, même si tu ne pourras jamais
me lire. » et le 2ème page 240 «Je crois que je vais te
laisser cette lettre ici. Dans cette cuisine vide. Pour que tu
saches, si tu reviens, que je t’aime et que tu me manques. Je t’en
prie ne t’inquiète pas pour moi ».
J'ai
choisi le livre « No et moi » de Delphine de Vigan.
Le
roman parle d'une jeune fille de 13 ans nommée Lou Bertignac,
surdouée mais qui n'est pas très bien dans sa peau, elle n'a pas
beaucoup d'amis. Un jour, elle doit faire un exposé oral et choisit
un thème par hasard qui est «La vie des jeunes SDF». Lou se rend
tous les jours à la gare d'Austerlitz où elle va rencontrer No, une
jeune SDF de 18 ans. Une véritable histoire d'amitié va naître
entre elles.
Le
récit est très touchant, il fait beaucoup réfléchir sur la
société. Le style d'écriture est beau. Toute l'histoire se passe
dans la tête de Lou, on perçoit très bien sa personnalité, son
innocence, ses espoirs. J'ai aimé ce livre, sans pourtant que ce
soit un coup de cœur.
La
fille du docteur Baudoin est un roman de Marie-Aude
Murail.
C'est
l'histoire d'une jeune adolescente qui tombe enceinte à 17 ans, son
père est médecin et le père de la jeune fille a un jeune confrère
qui travaille aussi au planning familial. Il aide la jeune fille à
avorter et la sauve d'une hémorragie. Le jeune médecin sauve aussi
le père de la jeune fille d'un infarctus. Les deux jeunes gens
tombent amoureux.
J'ai
vraiment aimé ce livre car nous entrons de suite dans l'histoire et
nous nous identifions facilement à la jeune fille.
Une
des phrases que j'ai aimée : « Je vais tâcher de me ménager.
Je suis curieux de voir mes petits-enfants. » Jean Baudoin.
Le
titre de mon livre est « J'ai oublié le titre ! ».
Son auteur est Carine Beaufils qui est devenu par hasard animatrice
en maison spécialisée pour les malades d’Alzheimer.
Carine
raconte chaque jour comment se passe son travail : elle présente
les personnes âgées ou ses collègues, elle s'attache vite à ce
métier contre tout attente. Carine raconte son histoire, comment se
passe son travail.
Mon
avis personnel est que ce livre est vraiment bien, il m'a donné
envie de tenter l’expérience. Il montre que l'on peut être
heureux d'aller travailler, d'aider les personnes en difficulté se
sentir utile.
La
phrase que j'ai aimée:
« Qu'est-ce
qui a poussé un individu à la vie et pourrait le conduire à en
vouloir encore ? »
Mon
livre s'appelle « Tu seras la risée du monde » de
Jean-Paul Nozière. L'histoire parle d'un garçon qui fait « pipi
au lit ». Il parle de ses problèmes de sa vie et surtout des
moqueries de ses parents, de ses copains et de sa hantise d'aller à
l'internat en 6 ème. Les personnages principaux sont Fanfan et Gus.
J'ai
un peu aimé ce livre car il montre ce que l'on peut ressentir dans
son cas et les émotions qui peuvent être parfois très dures à
cause des moqueries.
Le vendredi 13 mars
2015, nous sommes allées voir une pièce spectacle/débat sur le
harcèlement intitulée «le 20 novembre ». Cette pièce
racontait l'histoire d'un jeune adolescent qui s'appelait Sébastian
Bosse. Ce personnage était joué par le comédien Théo
Lanatrix. C'est un monologue écrit par l'auteur Suédois Lars Noren.
Nous étions dans la
salle polyvalente avec les terminales ASSP.
Sebastian
Bosse, un
lycéen allemand,
était harcelé depuis l'école
primaire en 1994. Quelques années plus
tard il songe à
se venger de tout le mal qu'il a pu subir. De 2003 à 2006, il
organise une tuerie et en 2006 il blesse 37 personnes, puis se tue
après à l'aide d'une bombe. C'était quelqu'un qui se sentait très
mal dans sa peau à cause des autres. Il
pensait aussi que ses professeurs étaient tous contre lui, ils le
prennait pour un "nul".
Nous
avons trouvé cette pièce très réaliste, elle montre à quel point
les personnes peuvent être cruelles les unes envers les autres...
blesser moralement, physiquement d'autres personnes comme dans le cas
de Sebastian.
Nous
nous sommes senties gênées, mal, tristes pour lui, nous avons
ressenti de la peur. A certains moments, nous avions envie que cela
s'arrête ! Nous voulions sortir de la pièce et parfois même
enlever son arme à Sebastian et le calmer, le réconforter, l'aider
à se reconstruire.
A
la fin de la pièce de théâtre, il y a eu un débat sur l'histoire
afin de dénoncer le harcèlement chez les jeunes. Ce phénomène est
de plus en plus fréquent dans toutes les classes : une personne sur
cinq est victime de harcèlement. On nous a donné des pistes pour
dénoncer le harcèlement aussi bien en tant que témoin qu'en tant
que victime.
Nous
avons parlé aussi de la mise en scène.
Nous
remercions M. Lanatrix pour cette intervention qui nous a
sensibilisées au harcèlement.
A un moment,
Sebastian a pris une photo de lui et l'a positionnée sur le tableau
aux yeux de tout le monde.
Ce
mardi 3 février, nous nous sommes rendues au Foyer Logement de
Champagnole. Nous avons rencontré des résidents et leur avons
proposé de jouer au Mistigri. Notre but était de rappeler à leur
souvenir des jeux et des traditions oubliées. C'est pourquoi nous
avons confectionné un jeu de cartes avec l'ensemble des élèves de
notre classe. Les règles de ce jeu sont simples : chaque personne
reçoit 5 cartes, pioche une carte chez son voisin de table et doit
recomposer des paires identiques.
Le
gagnant ? Celui qui a réussi à se débarrasser de toutes ses
cartes...
Le
perdant ? Celui qui n'a pas réussi à se débarrasser du fameux
Mistigri !
Ce
jeu a été apprécié par l'ensemble des résidents, à en juger par
leurs sourires et les paroles que vous avons échangées. Nous avons
tous passé un agréable moment.
J'ai
effectué mon stage au centre de loisirs Couleur Récré à
Arc-et-Senans dans le Doubs.
La
structure dans laquelle j'ai effectué mon stage accueillait des
enfants entre 3 et 11 ans, elle permet aux parents qui travaillent de
garder les enfants avant l'école, le midi et le soir à la sortie de
l'école. L'équipe pédagogique est composée de 5 personnes dont la
directrice et une animatrice.
J'ai
effectué différentes tâches dont le nettoyage des salles et la
vaisselle, la préparation des repas, l'installation des tables, le
service des repas et du goûter. J'ai aussi réalisé des activités
avec les enfants comme la pâte à sel, des jeux de cartes, des
ateliers cuisine, des jeux sociaux éducatifs...
Ce
stage m'a confortée dans mon choix professionnel et m'a fait
découvrir le monde du travail. Ce stage m'a beaucoup plu. Mais
j'aurais aimé passer plus de temps avec les enfants le midi, car
c'est à ce moment-là qu'il est possible de partager de nombreuses
activités avec eux.
J'ai
effectué mon stage à l'école de Cuttura (Jura) qui est composée de 2
classes. Dans la 1ère classe, la maîtresse s'occupe des petites
sections et des moyennes sections, et dans la 2ème classe le maître
s'occupe des grandes sections et des CP. Il y a aussi une ATSEM, qui
s'occupe des 2 classes mais plus généralement de la classe des
petits.
Le
public concerné est donc des enfants de la petite section jusqu'au
CP, c'est-à-dire de 3 à 6 ans.
Durant
ce stage j'ai effectué différentes tâches :
-gérer
un groupe d'enfants et leur expliquer une activité
-les
emmener aux toilettes
-aider
à la prise du repas
-jouer
avec eux
-vérifier
leur travail
-les
surveiller.
J'ai
vraiment beaucoup aimé ce stage, tout d'abord car je me suis
attachée aux enfants mais sans dépasser la limite du professionnel.
L'ambiance avec le personnel était vraiment chaleureuse. J'ai aussi
aimé le contact avec les enfants, jouer avec eux, mais également
leur apprendre en quelque sorte la vie, apprendre à lire, à écrire,
à compter.
Au
début j'avais un peu peur de m'ennuyer mais finalement pas du tout.
Par contre, j'ai eu du mal à me faire entendre par les enfants car
ils me prenaient un peu pour leur copine. J'ai réussi à me faire
entendre et à garder une relation professionnelle avec les enfants,
et pour finir j'ai
découvert que cela me plaisait vraiment mais je ne sais encore pas
si je veux en faire mon métier plus tard.
J'ai
effectué ma formation dans une crèche nommée «la Ruche». Elle se
trouve dans le village de Septmoncel. Elle est gérée par la mairie.
L'objectif de cette structure est d'accueillir des jeunes enfants, de
veiller à leur santé et à leur sécurité.
A
la «Ruche» travaillent six personnes :
-Sonia
est directrice et éducatrice de jeunes enfants. Elle est à la
crèche depuis trois ans.
-Sandrine
est auxiliaire de puériculture, et elle travaille dans cette
structure depuis quatre ans.
-Hélène
a un diplôme de CAP petite enfance, elle est à la crèche depuis
huit ans.
-Françoise
est infirmière, depuis dix-huit ans.
-Mathilde
est éducatrice de jeunes enfants, elle travaille dans cette
structure depuis trois ans.
-Maëlys
est en train de passer un diplôme, elle travaille à la crèche
depuis septembre 2014.
Le
public concerné
Dans
cette structure, les enfants sont au nombre de treize par jour, mais
il y a toujours une place de plus en cas d'urgence. Elle accepte les enfants entre l'âge de deux mois et demi et
quatre ans.
Les
tâches effectuées
J'ai
effectué plusieurs tâches comme l'entretien des locaux, le
rangement, les changes, les couchers pour la sieste, prendre la
température des repas, aller chercher les repas, prendre et donner
les transmissions aux parents, aide aux activités et aux repas si besoin.
Bilan
personnel
Cette
formation était une expérience exceptionnelle. Les personnes qui
m'ont accueillie ont été très gentilles avec moi, elle m'ont mise
en confiance tout de suite. Je me suis sentie très bien. Au début
de mon stage, je ne savais pas si je pouvais effectuer des tâches
seule, donc je demandais. J'ai tout aimé dans ce stage, tout était
vraiment intéressant. Je me suis découvert beaucoup de patience avec les enfants.
Durant
ma période de PFMP j'ai effectué mon stage à l'école maternelle
de Prénovel. C'est une école publique située dans le Haut Jura.
Elle
accueille des enfants âgés de 2 à 7 ans, aucun élève n'était
handicapé.
Les
tâches effectuées étaient de :
m'occuper
d'un groupe d'enfants pour des activités manuelles ou autre
lire
des histoires
nettoyer
les gobelets ou les tables
jouer
avec les enfants
les
habiller et les déshabiller
aider
au repas
Ce
stage a été très bénéfique pour moi, je n'avais aucune
appréhension car j'avais déjà effectué ce type de PFMP et je
connaissais la structure car j'y étais écolière. J'ai beaucoup
aimé m'occuper des enfants, leur lire des histoire etc… mais cela
m'a rappelé ma situation familiale. Je pense que j'ai besoin
d'échanger plus avec les enfants, j'aime avoir des discussions
construites comme avec les classes supérieures qui mangeaient avec
moi au self. Cela m'a confortée dans mon choix de devenir
animatrice.
J'ai
effectué ma PFMP* à l'EHPAD* l'Eclaircie à Equevillon (Jura).
Cet
établissement est privé et accueille des personnes âgées de 60 à
100 ans. Il y a 36 chambres dans la structure. Celle-ci propose 3
accueils de jour.
Lors
de cette PFMP j'ai été dans deux services différents : une
semaine et 2 jours avec le personnel ASH*, une semaine et 3 jours avec
le personnel aide-soignant.
Durant
ces trois semaines j'ai effectué les tâches suivantes :
ASH,
Le matin :
Ramasser
les plateaux du petit déjeuner, nettoyer les plateaux, nettoyer les
chambres des personnes âgées, mise en place des salles de repas.
Le midi et après midi :
Servir
le repas, débarrasser les tables, faire la vaisselle, nettoyer la
cuisine ainsi que les salles de repas.
Fin
d'après midi et soir :
Entretien des chambres des résidents plus une autre salle dont l'entretien m'était attribué
selon le jour de la semaine, mise en place des salles de repas, service du repas,
vaisselle.
Aide
soignant, Le matin :
Toilette
des personnes, installation des personnes dans la salle commune.
Le
midi et après midi :
Aide
à la prise du repas pour les résidents qui en ont besoin. Les
résidents qui souhaitent faire une sieste sont couchés, pour ceux qui le
souhaitaient accompagnement aux toilettes, les
personnes sont conduites dans la salle commune pour l'animation,
distribution du goûter.
Le soir:
Débarrasser
le goûter, finalisation de l'animation, aide au repas.
Mon
stage m'a énormément plu car le côté relationnel est important
avec les résidents qui sont très attachants. Au début de ma
formation je n'étais pas sûre de ce que je voulais faire et de ma voie professionnelle mais maintenant je sais que je veux
m'occuper des personnes de tout âge. Le plus difficile de mon stage,
c'était de quitter les résidents dont je me suis occupée durant ces
3 semaines de PFMP*.
EHPAD:
Établissement D'hébergement pour Personne Âgée et Dépendante.
PFMP:
Période de Formation en Milieu Professionnel. ASH : Agent de service hospitalier