La classe de 2de ASSP

La classe de 2de ASSP

mardi 15 décembre 2015

Abbaye d'Ardenne, jeudi 10 décembre 2015


L'abbaye d'Ardenne a été fondée au 12ème siècle par Ayulphe Marché et sa femme. Elle se situe à Saint Germain la Blanche Herbe en Normandie. Dans l'Abbaye il y a la porte Saint-Norbert, la Grange aux dîmes, les écuries, la Porte de Bayeux, les étables, le Jardin des Canadiens, le pressoir, le farinier, l'abbatiale et le pavillon des archives.
Durant la 2nde Guerre Mondiale les Allemands ont occupé l'Abbaye car depuis le haut de l'église ils pouvaient voir les plages et surveiller le débarquement des alliés.

La famille VICO habitait l'Abbaye d'Ardenne dont plusieurs membres de la famille furent des résistants.
Le père étant le maire de Saint Germain la Blanche Herbe de l'époque, il a participé à la résistance en faisant des faux papiers aux jeunes afin de les rajeunir pour leur éviter le Service de Travail Obligatoire (STO ) en Allemagne. Les fils Vico ramassaient les parachutes et les armes larguées des Anglais et les cachaient dans les écuries. Les parents ont été arrêtés par les Allemands car ils ont été dénoncés pour leurs actes de résistance.
Lorsque les Allemands occupaient l'Abbaye, les Canadiens ont essayé de la libérer mais ils ont échoué. 23 Canadiens ont été fait prisonniers dans les étables. Le lendemain ils ont été assassinés dans le « Jardin des Canadiens ». Après cela, il a fallu aux Canadiens un mois pour récupérer l'Abbaye. Un monument en honneur aux Canadiens tués a été construit, nous sommes allées le visiter. Chaque 7 juin, une cérémonie est célébrée en leur honneur, le plus souvent en présence de l'ambassadeur canadien, de citoyens canadiens et représentants français.

L'IMEC (Institut Mémoires de l'Édition Contemporaine):

Institut : c'est une association d'intérêt général qui transmet des mémoires d'édition, d'écrivains, de réalisateurs...pour permettre à d'autres personnes d'interpréter l'histoire.
Mémoires : permet la confrontation des mémoires et l'élaboration de l'histoire grâce aux archives.
Édition contemporaine : fonds d'auteurs du 20ème et 21ème siècle.

  • L'IMEC a été fondée en 1988 et était installée à Paris. A la fin des années 80, le projet de l'IMEC a été proposé à l'Abbaye d'Ardenne et donc transféré là-bas.
  • L'IMEC a été créée pour permettre à de nouvelles personnes de faire progresser la recherche historique et permet aux chercheurs de consulter les archives dont ils ont besoin.
  • Les archives conservées sont des fonds d'éditeurs ( Larousse, Flammarion), d'écrivains ( Marguerite Duras... ), d'auteurs...
  • Ils gardent en particulier leurs manuscrits, livres, objets, lettres...

Aujourd'hui, l'abbatiale abrite la bibliothèque de l'IMEC pour les chercheurs. Avant cela elle servait à stocker le foin mais malheureusement pendant la guerre elle a été détruite puis rénovée pendant 30 ans.
Pour éviter les écroulements du plafond ils ont remplacé les voûtes de pierres par des voûtes en bois.
L'architecte qui a réalisé sa rénovation, a voulu garder la mémoire de l'église en mettant des armoires dos à l'entrée pour cacher les livres et garder le principe que lorsque l'on entre dans une église nous regardons le plafond et faire comme si nous étions attirés par le ciel ou le paradis....
Puis nous avons visité les sous-sols, là où sont archivés les livres. Le guide nous a expliqué le processus pour archiver les documents :
  • les documents arrivent de tous les coins du monde, ils sont stockés en l'état dans une salle.
  • Avant d'être triés ils passent au dépoussiérage si besoin.
  • Les documents sont ensuite emmenés dans une salle où ils sont triés et rangés par boîte.
  • Ensuite ils sont rangés dans les rayonnages.

Nous avons trouvé cette expérience intéressante et enrichissante, les guides étaient très impliqués dans la visite. Les lieux était très jolis et l'histoire de ces lieux également. C'est un endroit rempli d'histoire tout au long de son existence depuis sa fondation jusqu'à nos jours.

Cimetière américain, jeudi 10 décembre 2015

 
Ce cimetière a été fondé en 1956 juste au dessus des plages du débarquement d'Omaha Beach, dans la commune de Colleville-sur-mer dans le Calavados. Inauguré officiellement par son mémorial ce cimetière honore les soldats Américain mort pendant la bataille de Normandie lors de la seconde guerre mondiale. Le cimetière est gérer par l'American battle Monuments Commission.

Au cimetière Americain de Colleville-sur-mer reposent 9387 soldats Américains dont 149 Juifs qui sont représentés par une étoile alors que les autres ont une croix blanche. Un mur est consacré aux disparus.

Dans le mémorial nous avons pu observer des symboles du débarquement, le bassin représente les plages du débarquement, le toit par sa forme arrondie, représente le parachute des soldat, la haie tout autour du bâtiment représente le bocage Normand, obstacle pour les militaires puisque l'ennemi pouvait si cacher et les parachutistes se prendre dedans. Dans ce mémorial sont aussi exposés les pièges crées par les alliés pour tromper l'ennemi pendant la préparation du débarquement (qui a commencé fin 1943 pour débarqué le 6 Juin 1944.) Comme: les faux papiers, les faux chars, parachutistes et les messages codés.

Pour beaucoup d'élèves la première impression était de la tristesse et de l'émotion, certaines ont ressenti de la fierté pour les soldats défunts qui se sont battus, ont perdu la vie pour un pays qui n'était pas le leur.


Par Jessica, Hélène et Charlotte

Saint Vaast la Hougue, mercredi 9 décembre 2015


Nous sommes arrivées à St Vaast la Hougue vers 13h00, nous avons mangé dans le restaurant « le Débarcadère ».
Depuis le débarcadère, nous avons longé la plage pour arriver à la tour de la Hougue. Nous avons bénéficié d’une vue exceptionnelle car c’était marée basse. En longeant le sentier, nous avons pu voir les parcs à huitres, où les ostréiculteurs récoltaient des huitres sans doute en vue des fêtes de fin d’année.
Nous avons fait le tour de la pointe en marchant sur les fortifications, puis nous sommes arrivées à la chapelle des marins. C’est un lieu voué au souvenir des marins péris en mer. Sur les murs, il y avait des plaques à leur mémoire.
En face de la jetée, se trouve l’île de Tatihou, sur laquelle nous pouvions apercevoir les vestiges des tours, des remparts, construits par Vauban en 1694. Nous n’y sommes pas allées et n’avons donc pas pu prendre le bateau amphibie (avance avec des roues à marée basse, et à moteur à marée haute).
Tout en visitant le centre-ville, nous avons été reçu par Mme Fesnien qui nous avait préparé des gâteaux aux pommes Normandes cultivées par Marcel (c’est une personne âgée avec laquelle nous avons correspondu pendant 1 an et demi et que nous allons rencontrer vendredi).

Cimetière allemand, mercredi 9 décembre 2015


    Aujourd’hui, nous sommes allées au cimetière allemand de la Cambe.                            Avant d’atteindre le cimetière, nous sommes passées dans une immense allée d’arbres.   Chacun d’eux représente un soldat allemand mort pendant le combat. Chaque arbre a été offert par un parrain qui souhaitait honorer la mémoire d’un soldat. C’est une allée impressionnante.
    L’entrée se fait en passant devant deux rotonde, dans la première, on pouvait y trouver les registres des noms des victimes allemandes, puis dans la seconde, il y avait des photos de différents cimetières dans différents pays où reposent des soldats ayant combattu pendant la seconde guerre mondiale.
    Ensuite, nous avons aperçu le cimetière où l’on pouvait voir des séries de cinq tombes noires alignées, réparties sur toute la surface du cimetière. Au centre, se trouve une statue représentant une croix avec un homme et une femme de chaque côté.
    Pour finir, nous avons visité un musée qui reprenait les étapes de construction du cimetière et les grands moments de la guerre, en passant par quelques témoignages de paix exprimés par différentes personnalités.
    En lisant sur les tombes, nous avons pu constater que la plupart étaient de jeunes  gens âgés entre 18 et 25 ans. Cela nous a émues, gênées, attristées, cela appelait au respect.

Caramèlerie d'Isigny, mercredi 9 décembre 2015


Nous avons commencé notre journée par la visite des caramels d'Isigny. La ville d'Isigny compte 1200 habitants, elle est entourée de marais ce qui empêche la culture des terres, c'est pourquoi elle s'est tournée vers l'élevage de vaches normandes (marron et blanche).
La production de lait est utilisée pour faire du fromage, de la crème, du beurre … ne sachant pas comment utiliser le surplus de lait ils diversifièrent leur production avec la création des caramels.
L'usine que nous avons visitée est récente (ouverte en 1994). En effet les précédents producteurs de caramel se sont installés dans le département voisin suite à des problèmes financiers et la commune d'Isigny a souhaité réimplanter ce savoir-faire.
La galerie du caramel propose d'observer le déroulement complet de la production de caramel à travers des vitres surplombant les ateliers (hygiène, sécurité, meilleure visibilité)
La guide nous présente ensuite les différents ingrédients de la fabrication des caramels :

  • sel de Guérande
  • eau
  • sirop de glucose
  • sucre de cristal
  • lait entier en poudre
  • beurre (salé ou non)
La recette traditionnelle est celle du caramel à la vanille. Cette recette de base est déclinée en 70 recettes. La caramèlerie propose également des coulis, des crèmes de caramel, des caramels durs, des pop-corns, des biscuits ainsi que des pépites pour les pâtisseries.
Les objectifs du musée :
  • Présenter l'entreprise et la diversité de sa production (pas de commerciaux)
  • Comprendre que le caramel n'existe pas que sous forme de bonbon
  • Mettre l'accent sur le côté artisanal de l'entreprise
Le personnel est composé de 20 salariés dont 4 hommes qui travaillent principalement en cuisson, 6 femmes polyvalentes également à l'atelier, 2 personnes chargées de la communication, une responsable qualité... et actuellement un directeur, Éric Pelletier.

Les chiffres clefs de l'entreprise sont impressionnants car ils produisent 1,5 tonnes de caramels en moyenne par jour, 11000 bonbons par cuisson, 22 millions de caramels par an ou encore 320 tonnes de caramel par an.

La fabrication du caramel s'est considérablement développée mais elle évoque toujours une tradition, une saveur authentique des produits régionaux ainsi que le goût du terroir.




Par Claire, Aurore et Morgane


Visite de Caen, mardi 8 décembre 2015



Nous avions une carte de Caen et nous devions découvrir 8 sites incontournables dans la ville. Le bus nous a déposées en face du jardin des plantes.
En premier lieu, nous devions repérer l’église St Julien. C’est une église contemporaine, elle est atypique de par sa forme ovale.
Ensuite, nous nous sommes dirigées vers le château Ducal érigé en 1060 par Guillaume le Conquérant.Il y avait de profonds fossés et une muraille très élevée. A notre époque, il ne reste plus que les ruines du château.
Puis nous sommes allées dans un vieux quartier de la ville : « le Vaugueux », nous avons pu admirer des maisons traditionnelles Normandes, à colombages.
Nous avons fait un arrêt à la librairie du Calvados, dont la devanture est d’époque, avec des colonnes en boiseries.
Puis nous avons fait une pause place St Sauveur, où nous avons profité du marché de Noël.
Enfin nous avons terminé par l’abbaye aux hommes, d’architecture Romane Normande, à l’intérieur se trouve le tombeau de Guillaume le Conquérant.

Mémorial de Caen, mardi 8 décembre 2015


Nous sommes arrivées à 9H30 au mémorial.
Nous avons été divisées en deux groupes pour la visite.
Les deux objectifs du Mémorial :
  • Préserver la mémoire
  • Communiquer un message pour la paix.Le mémorial a été construit à l’initiative de l’ancien sénateur maire de Caen Jean Marie GIRAULD, en poste pendant 31 ans. Il a été placé dans cette ville qui a payé un des plus lourds tribus du débarquement, 80% de la ville a été détruite.
                                                                                                                            
LA GUERRE EN FRANCE :
  • Le 3 septembre 1939 débute une guerre éclair et les chars allemands suivis des soldats et des avions détruisent tout sur leur passage. Suite à l’invasion de la Pologne, la France et la Grande Bretagne déclarent la guerre à l’Allemagne.
  • La France est divisée en deux parties : La zone occupée et la zone libre (les Allemands se positionnent dans le Nord de la France pour contrôler les mers et les ports).
  • Pétain choisit Vichy comme capitale de la zone libre car il avait pour but de ressourcer et d’embellir la France, Vichy étant une station thermale, la métaphore était d’autant plus forte.
LA COLLABORATION :
  • Le Maréchal Pétain collabore avec Hitler en signant l’armistice à Compiègne en 1940 et pratique une politique de propagande (manipuler l’information pour convaincre la population).
  • Les Français collaborent de différentes façons : fournir du matériel aux Allemands, dénoncer des résistants, des juifs…
LA RESISTANCE :
  • Le général De Gaulle refuse l’armistice et appelle les Français à résister depuis la Grande-Bretagne. L’appel du 18 juin 1940 marque le début de la résistance française.
  • De Gaulle nomme Jean Moulin comme chef de la résistance française intérieure (FFI Forces Françaises Intérieures).
  • La résistance prend des formes différentes : communication (journaux édités par des imprimeries clandestines, radio….), la résistance armée (les maquisards) et la résistance passive (silences face aux ennemis, les illustrations patriotiques).
Puis, le guide nous a fait découvrir la salle présentant le génocide juif (la Shoah) et nous avons observé l’unique photographie existante de la rafle du Vel d'Hiv. C'est cette Rafle qui a inspiré la nouvelle de Philippe Claudel Pierrot Lunaire que nous avons étudiée en cours.
Nous avons découvert les salles présentant les camps de concentration et d’extermination. Le guide nous a rappelé la différence entre les deux. Dans les camps de concentration sont enfermés les détracteurs politiques, les criminels, les homosexuels et toute personne prise dans des rafles. Ces personnes étaient utilisées comme main d'oeuvre au service des grandes entreprises allemandes. Les camps d’extermination avaient pour but de tuer en masse un grand nombre de personnes, essentiellement des Juifs.
Grâce aux Alliés et au débarquement du 6 juin 1944 sur les plages Normandes et les 5 jours de la bataille de Normandie, un deuxième front est ouvert.
Tout s’enchaîne, les différentes villes sont libérées et l’armistice est signée le 8 mai 1945.
Grâce à la mobilisation des femmes dans la résistance et durant les combats, elles obtiennent une reconnaissance essentielle : le droit de vote en 1945. Suite à cette guerre et ses atrocités, suivra la création de la Sécurité Sociale.
Cette longue et interminable guerre mondiale aura fait plus de 60 millions de morts dont 35 millions de civils.


Par Ophélie et Amélie

lundi 16 novembre 2015

A lire dans la presse

Dans le cadre du projet intergénérationnel, la classe de 1ère ASSP a proposé une animation à l'EHPAD d'Equevillon.

jeudi 8 octobre 2015

Découverte des métiers : visite de l'hôpital de Champagnole

Nous sommes la classe de seconde ASSP (Accompagnement, Soins et Services à la Personne). Notre journée s'est déroulée le jeudi 10 septembre 2015. Nous sommes partis à 13h30 du lycée à pied, jusqu'à l'hôpital. Lorsque nous sommes arrivés, on s'est divisé en deux groupes pour que la visite se passe au mieux.
Nous avons rencontré plusieurs personnes : une cadre de santé et une infirmière. Cette visite a été organisée dans le but de nous faire découvrir une des structures où nous pourrons travailler plus tard.
Dans le bâtiment des urgences on trouve une salle d'attente, des boxes de consultations, un service de gynécologie, de biologie, d'échographie, de radiologie qui sont équipés d'une vitre en plomb pour protéger le personnel des rayons X. 
Dans la voiture du SMUR, le matériel est vérifié après chaque changement d'équipe, il est aussi scellé pour être toujours disponible. Les médicaments sont rangés dans un frigidaire situé dans le coffre. La radio est reliée au 15 et 18. Depuis quelques temps, le personnel du SMUR porte une tenue spéciale pour les interventions.
Le bâtiment de l'EHPAD (Établissement d'Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) comprend trois étages. Le service d'administration est situé au rez-de-chaussée, au premier étage c'est la médecine, et les deux derniers étages sont réservés aux résidents avec leurs salles d'animations, de restaurations, de soins... Dans le service de médecine, on compte 25 lits, celui des soins de longues durées en a 30, 90 en gériatrie, 40 en SSR (soins services en repos) et 61 lits sur l'hôpital. Dans ce bâtiment il y a des animatrices à pleins temps, des aides-soignantes, des infirmières, une assistante sociale, et une diététicienne. Ils ont aussi des locaux techniques, pharmacies, laveries... Le personnel de ce service est davantage dans les soins relationnels.
A leur arrivée, les stagiaires doivent avoir une convention de PFMP (période de formation en milieu professionnel), se présenter à 8h30 le lundi matin, avoir sa tenue de travail ainsi que les chaussures, apporter un cadenas pour les vestiaires, et enfin présenter le livret de stage avec les objectifs et la feuille d'évaluation à leur tuteur.
Il faut être discret, garder le secret médical, respecter les autres, être à l'écoute de l'équipe et en fin accepter les remarques pour améliorer ses pratiques professionnels.
Le personnel a depuis quelques années du nouveau matériel médical comme le lève malade, les chaises à roulettes, un verticalisateur, des planches de transfert (roller), des lits électriques. Tout cela favorise l'ergonomie au travail.
Dans ce métier, il faut vraiment être motivé et volontaire. La visite nous a permis d'acquérir des connaissances, de mieux comprendre le monde du travail, son organisation, et de nous oter quelques appréhensions que nous avions pour les PFM.
Nous remercions l'infirmière et la cadre de santé qui ont pris de leur temps de travail pour pouvoir nous accueillir.

Sarah FAVRE, Mélissa FUMEY, Shania JEANDOT


Journée entre ASSP : découverte de la filière




Le jeudi 17 Septembre 2015, les trois classes (seconde, première et terminale) d'ASSP (Accompagnement Soins et Services à la Personne), et les professeurs de matières professionnelles, (Mme BONNET, Mme ROUSSEL, Mme ROYET, Mme FRANCK et Mme CHALVIN) se sont retrouvés à l'Auditorium pour passer la journée ensemble. Cette journée leur a permis de créer de nouvelles affinités et de renforcer les liens du groupe et aux secondes de connaître un peu plus la filière.

La matinée s'est déroulée ainsi:
  • Les terminales nous ont présenté les différentes matières professionnelles.
  • Les premières nous ont fait visiter les différentes salles professionnelles, ( salle de collation, salle d'animation, salle de TP ( Travaux Pratiques) soins, les vestiaires, le local ménage, la laverie et l'infirmerie).

Le midi, nous avons pique-niqué dans la salle de TP soins et de collation, car le temps ne nous a pas permis de pouvoir pique-niquer en plein air.

L'après-midi, nous nous sommes rendus au gymnase pour faire des activités collectives.
Tout d'abord, Mme FRANCK nous a créé des groupes, ce qui a permis aux différentes classes d'ASSP d'apprendre à se connaître.
Les équipes était nommées en fonction des différents métiers que l'on peut pratiquer dans la filière.
Les jeux étaient les suivants: - Les relais
- Course aux sacs (Pieds attachés)
- Jeux de la chaise
- La chasse à l'ours
Après toutes ces activités, Mme FRANCK a fait un classement. Les équipes qui ont fini 1er, 2eme et 3eme ont eu un diplôme.

La fin de cette journée s'est terminée par un goûter collectif. Chaque élève qui n’était pas interne a apporté une boisson ou un gâteau.

Nous remercions les professeurs des matières professionnelles qui ont organisé cette journée afin que les trois classes d'ASSP puissent se rencontrer.

Maïlys TOURNIER et Marie RAGUIN

 

Journée d'intégration des 2de ASSP


Le 11 Septembre 2015 nous avons été à CHALAIN pour la journée d'intégration en compagnie des secondes 4 et des secondes 5. Le but de cette rencontre a été de souder notre classe grâce à l'esprit d'équipe qui est nécessaire dans notre filière et également d'apprendre à connaître les autres classes de seconde.
Pour commencer cette demi-journée, nous devions présenter nos classes par une chorégraphie dont la nôtre était de se mettre en ligne avec un petit bracelet en pompon avec des cartons où l'on avait écrit « Nous sommes les ASSP accompagnement soins service à la personne »
Puis nous avons participé à une course d'orientation dans laquelle commençait les séries de questions qui portaient sur notre culture jurassienne. Nous sommes arrivés 3 ème position.
Nous avons combattu au tir a la corde contre les 2 classes de secondes, cette activité nous a permis de travailler main dans la main pour arriver à notre but qui était de remporter cette étape, nous avons réussi notre défi, nous étions en tête.
Pour poursuivre nous avons fait une course en sac composé de 4 personnes de la classe, où nous sommes arrivés 2 ème mais nous nous sommes bien amusés durant cette étape, surtout avec les chutes.
Pour finir cette journée nous avons fait une course en canoë, en s'aidant mutuellement pour gagner de la rapidité, nous sommes arrivés les derniers mais nous ne le regrettons pas. Nous avons tout mis en œuvre pour réussir cette journée et nous en sommes fiers. Nous avons montré un grand dynamisme et nous avons été sérieux toute la journée, ce qui fait partie des qualités requises en ASSP. En rentrant de CHALAIN nous avons décidé de prendre une photo de classe avec nos professeurs pour immortaliser ce moment.
Marion MICHELIN et Théo Grange
 

vendredi 5 juin 2015

Voyage en Roumanie

Céline à son retour de Roumanie

Nous avons eu la visite de Céline, de Terminale ASSP qui nous a raconté son séjour en Roumanie du 20 au 24 Avril. Nous l'avons interviewée :

Où es-tu allée exactement ?
Nous sommes allées à CRAIOVA, une grande ville de 350,000 habitants.

Quel était le but de ce séjour ?
C'était de comparer la place de la personne âgée dans notre société avec les autres pays participants,
des Roumains, des Italiens, des Turcs, des Polonais, des Léttons, des Grecs, des Tchèques et nous.

Et comment avez-vous communiqué ?
En anglais mais les Roumains et d'autres nationalités avaient un bien meilleur niveau.

Quelle est la monnaie utilisée ?
Des Lei.... Il faut diviser un euro par 4 pour faire la conversion. L'eau était très cher par contre j'ai pu m'acheter une robe pour 3 euros.

Quels moyens de transport y-a-til en Roumanie ?
Le taxi est vraiment bon marché....Mais on a aussi vu des charettes tirées par des ânes en dehors de la ville.

Qu'est-ce qui t'a surpris ?
Les repas ! Ils mangent 6 fois par jour mais en petite quantité. Et seulement des fruits en dessert.
La pauvreté et le mauvais état de certains habitats. Certaines personnes vivent dans une pièce unique qui leur sert de chambre, de cuisine et pièce à vivre.
En revanche, les Roumains vivent beaucoup la nuit : les magasins restent ouverts jusqu'à point d'heure...

L'école était-elle différente ?
Oui elle accueillait des élèves de la primaire à la terminale.

Quelles activités as-tu fait ?
De la poterie sur un tour traditionnel : c'est sportif, fatiguant, difficile et ça coupe et il était de comprendre les explications
On a aussi fait de la tyrolienne, du tir à l'arc et du buggy.
On a visité l'école, la mairie, l'université, la ville, le parc.

Y avait-il de la pollution ?
Pas vraiment... C'était même plus propre que chez nous !

Quel accueil avez-vous reçu ?
Très bon dans l'ensemble.



mardi 7 avril 2015

"Ne t'inquiète pas pour moi"

Ecrit par Alice KUIPERS née à Londres en 1979 « Ne t’inquiète pas pour moi » est son 1er roman.
C’est un roman épistolaire émouvant entre une fille étudiante et sa mère très occupée par son travail. La communication passe par un échange de post-it déposés sur la table ou le frigo. Puis, un jour la mère tombe gravement malade…
J’ai beaucoup aimé ce roman, l’histoire est très réaliste, elle nous tient en haleine jusqu’à la fin. Je le recommande vivement car il est très bien écrit. De plus, ces post-it ressemblent à des sms, ce qui rend la lecture plus originale et agréable.
Il y deux passages que j’ai beaucoup aimés : le 1er page 237 « Je suis allée au groupe de soutien aujourd’hui et Mary m’a suggéré de t’écrire, même si tu ne pourras jamais me lire. » et le 2ème page 240 «Je crois que je vais te laisser cette lettre ici. Dans cette cuisine vide. Pour que tu saches, si tu reviens, que je t’aime et que tu me manques. Je t’en prie ne t’inquiète pas pour moi ».
Anaïs

"No et moi"

J'ai choisi le livre « No et moi » de Delphine de Vigan.
Le roman parle d'une jeune fille de 13 ans nommée Lou Bertignac, surdouée mais qui n'est pas très bien dans sa peau, elle n'a pas beaucoup d'amis. Un jour, elle doit faire un exposé oral et choisit un thème par hasard qui est «La vie des jeunes SDF». Lou se rend tous les jours à la gare d'Austerlitz où elle va rencontrer No, une jeune SDF de 18 ans. Une véritable histoire d'amitié va naître entre elles.
Le récit est très touchant, il fait beaucoup réfléchir sur la société. Le style d'écriture est beau. Toute l'histoire se passe dans la tête de Lou, on perçoit très bien sa personnalité, son innocence, ses espoirs. J'ai aimé ce livre, sans pourtant que ce soit un coup de cœur.
Laura R.

"La fille du Docteur Baudoin"

La fille du docteur Baudoin est un roman de Marie-Aude Murail.
C'est l'histoire d'une jeune adolescente qui tombe enceinte à 17 ans, son père est médecin et le père de la jeune fille a un jeune confrère qui travaille aussi au planning familial. Il aide la jeune fille à avorter et la sauve d'une hémorragie. Le jeune médecin sauve aussi le père de la jeune fille d'un infarctus. Les deux jeunes gens tombent amoureux.
J'ai vraiment aimé ce livre car nous entrons de suite dans l'histoire et nous nous identifions facilement à la jeune fille.
Une des phrases que j'ai aimée : « Je vais tâcher de me ménager. Je suis curieux de voir mes petits-enfants. » Jean Baudoin.
Marine

"J'ai oublié le titre"

Le titre de mon livre est « J'ai oublié le titre ! ». Son auteur est Carine Beaufils qui est devenu par hasard animatrice en maison spécialisée pour les malades d’Alzheimer.

Carine raconte chaque jour comment se passe son travail : elle présente les personnes âgées ou ses collègues, elle s'attache vite à ce métier contre tout attente. Carine raconte son histoire, comment se passe son travail.

Mon avis personnel est que ce livre est vraiment bien, il m'a donné envie de tenter l’expérience. Il montre que l'on peut être heureux d'aller travailler, d'aider les personnes en difficulté se sentir utile.

La phrase que j'ai aimée:
« Qu'est-ce qui a poussé un individu à la vie et pourrait le conduire à en vouloir encore ? »

Laura J.

"Tu seras la risée du monde"

Mon livre s'appelle «  Tu seras la risée du monde  » de Jean-Paul Nozière. L'histoire parle d'un garçon qui fait « pipi au lit ». Il parle de ses problèmes de sa vie et surtout des moqueries de ses parents, de ses copains et de sa hantise d'aller à l'internat en 6 ème. Les personnages principaux sont Fanfan et Gus.
J'ai un peu aimé ce livre car il montre ce que l'on peut ressentir dans son cas et les émotions qui peuvent être parfois très dures à cause des moqueries. 
Alexa 
 

jeudi 19 mars 2015

"Le 20 novembre"


Le vendredi 13 mars 2015, nous sommes allées voir une pièce spectacle/débat sur le harcèlement intitulée «le 20 novembre ». Cette pièce racontait l'histoire d'un jeune adolescent qui s'appelait Sébastian Bosse. Ce personnage était joué par le  comédien Théo Lanatrix. C'est un monologue écrit par l'auteur Suédois Lars Noren.
Nous étions dans la salle polyvalente avec les terminales ASSP.
Sebastian Bosse, un lycéen allemand, était harcelé depuis l'école primaire en 1994. Quelques années plus tard il songe à se venger de tout le mal qu'il a pu subir. De 2003 à 2006, il organise une tuerie et en 2006 il blesse 37 personnes, puis se tue après à l'aide d'une bombe. C'était quelqu'un qui se sentait très mal dans sa peau à cause des autres. Il pensait aussi que ses professeurs étaient tous contre lui, ils le prennait pour un "nul".
Nous avons trouvé cette pièce très réaliste, elle montre à quel point les personnes peuvent être cruelles les unes envers les autres... blesser moralement, physiquement d'autres personnes comme dans le cas de Sebastian.
Nous nous sommes senties gênées, mal, tristes pour lui, nous avons ressenti de la peur. A certains moments, nous avions envie que cela s'arrête ! Nous voulions sortir de la pièce et parfois même enlever son arme à Sebastian et le calmer, le réconforter, l'aider à se reconstruire.
A la fin de la pièce de théâtre, il y a eu un débat sur l'histoire afin de dénoncer le harcèlement chez les jeunes. Ce phénomène est de plus en plus fréquent dans toutes les classes : une personne sur cinq est victime de harcèlement. On nous a donné des pistes pour dénoncer le harcèlement aussi bien en tant que témoin qu'en tant que victime.
Nous avons parlé aussi de la mise en scène.
Nous remercions M. Lanatrix pour cette intervention qui nous a sensibilisées au harcèlement.

 
A un moment, Sebastian a pris une photo de lui et l'a positionnée sur le tableau aux yeux de tout le monde.

jeudi 12 février 2015

Présentation du jeu « Le Mistigri » à des personnes âgées



Ce mardi 3 février, nous nous sommes rendues au Foyer Logement de Champagnole. Nous avons rencontré des résidents et leur avons proposé de jouer au Mistigri. Notre but était de rappeler à leur souvenir des jeux et des traditions oubliées. C'est pourquoi nous avons confectionné un jeu de cartes avec l'ensemble des élèves de notre classe. Les règles de ce jeu sont simples : chaque personne reçoit 5 cartes, pioche une carte chez son voisin de table et doit recomposer des paires identiques.
Le gagnant ? Celui qui a réussi à se débarrasser de toutes ses cartes...
Le perdant ? Celui qui n'a pas réussi à se débarrasser du fameux Mistigri !

Ce jeu a été apprécié par l'ensemble des résidents, à en juger par leurs sourires et les paroles que vous avons échangées. Nous avons tous passé un agréable moment.

Céline et Laurie, élèves de T ASSP.




jeudi 29 janvier 2015

Impressions de stage : Léonie

J'ai effectué mon stage au centre de loisirs Couleur Récré à Arc-et-Senans dans le Doubs.
La structure dans laquelle j'ai effectué mon stage accueillait des enfants entre 3 et 11 ans, elle permet aux parents qui travaillent de garder les enfants avant l'école, le midi et le soir à la sortie de l'école. L'équipe pédagogique est composée de 5 personnes dont la directrice et une animatrice.
J'ai effectué différentes tâches dont le nettoyage des salles et la vaisselle, la préparation des repas, l'installation des tables, le service des repas et du goûter. J'ai aussi réalisé des activités avec les enfants comme la pâte à sel, des jeux de cartes, des ateliers cuisine, des jeux sociaux éducatifs...
Ce stage m'a confortée dans mon choix professionnel et m'a fait découvrir le monde du travail. Ce stage m'a beaucoup plu. Mais j'aurais aimé passer plus de temps avec les enfants le midi, car c'est à ce moment-là qu'il est possible de partager de nombreuses activités avec eux.



mardi 20 janvier 2015

Impressions de stage : Pauline

J'ai effectué mon stage à l'école de Cuttura (Jura) qui est composée de 2 classes. Dans la 1ère classe, la maîtresse s'occupe des petites sections et des moyennes sections, et dans la 2ème classe le maître s'occupe des grandes sections et des CP. Il y a aussi une ATSEM, qui s'occupe des 2 classes mais plus généralement de la classe des petits.

Le public concerné est donc des enfants de la petite section jusqu'au CP, c'est-à-dire de 3 à 6 ans.

Durant ce stage j'ai effectué différentes tâches :

-gérer un groupe d'enfants et leur expliquer une activité

-les emmener aux toilettes

-aider à la prise du repas

-jouer avec eux

-vérifier leur travail

-les surveiller.

J'ai vraiment beaucoup aimé ce stage, tout d'abord car je me suis attachée aux enfants mais sans dépasser la limite du professionnel. L'ambiance avec le personnel était vraiment chaleureuse. J'ai aussi aimé le contact avec les enfants, jouer avec eux, mais également leur apprendre en quelque sorte la vie, apprendre à lire, à écrire, à compter.

Au début j'avais un peu peur de m'ennuyer mais finalement pas du tout. Par contre, j'ai eu du mal à me faire entendre par les enfants car ils me prenaient un peu pour leur copine. J'ai réussi à me faire entendre et à garder une relation professionnelle avec les enfants, et pour finir j'ai découvert que cela me plaisait vraiment mais je ne sais encore pas si je veux en faire mon métier plus tard.


Impressions de stage : Heïdi

Présentation rapide de la structure
J'ai effectué ma formation dans une crèche nommée «la Ruche». Elle se trouve dans le village de Septmoncel. Elle est gérée par la mairie. L'objectif de cette structure est d'accueillir des jeunes enfants, de veiller à leur santé et à leur sécurité.

A la «Ruche» travaillent six personnes :
-Sonia est directrice et éducatrice de jeunes enfants. Elle est à la crèche depuis trois ans.
-Sandrine est auxiliaire de puériculture, et elle travaille dans cette structure depuis quatre ans.
-Hélène a un diplôme de CAP petite enfance, elle est à la crèche depuis huit ans.
-Françoise est infirmière, depuis dix-huit ans.
-Mathilde est éducatrice de jeunes enfants, elle travaille dans cette structure depuis trois ans.
-Maëlys est en train de passer un diplôme, elle travaille à la crèche depuis septembre 2014.

Le public concerné
Dans cette structure, les enfants sont au nombre de treize par jour, mais il y a toujours une place de plus en cas d'urgence. Elle accepte les enfants entre l'âge de deux mois et demi et quatre ans.

Les tâches effectuées
J'ai effectué plusieurs tâches comme l'entretien des locaux, le rangement, les changes, les couchers pour la sieste, prendre la température des repas, aller chercher les repas, prendre et donner les transmissions aux parents, aide aux activités et aux repas si besoin.

Bilan personnel
Cette formation était une expérience exceptionnelle. Les personnes qui m'ont accueillie ont été très gentilles avec moi, elle m'ont mise en confiance tout de suite. Je me suis sentie très bien. Au début de mon stage, je ne savais pas si je pouvais effectuer des tâches seule, donc je demandais. J'ai tout aimé dans ce stage, tout était vraiment intéressant. Je me suis découvert beaucoup de patience avec les enfants.


Impressions de stage : Coralie Z.


Durant ma période de PFMP j'ai effectué mon stage à l'école maternelle de Prénovel. C'est une école publique située dans le Haut Jura.

Elle accueille des enfants âgés de 2 à 7 ans, aucun élève n'était handicapé.

Les tâches effectuées étaient de :
  • m'occuper d'un groupe d'enfants pour des activités manuelles ou autre
  • lire des histoires
  • nettoyer les gobelets ou les tables
  • jouer avec les enfants
  • les habiller et les déshabiller
  • aider au repas
Ce stage a été très bénéfique pour moi, je n'avais aucune appréhension car j'avais déjà effectué ce type de PFMP et je connaissais la structure car j'y étais écolière. J'ai beaucoup aimé m'occuper des enfants, leur lire des histoire etc… mais cela m'a rappelé ma situation familiale. Je pense que j'ai besoin d'échanger plus avec les enfants, j'aime avoir des discussions construites comme avec les classes supérieures qui mangeaient avec moi au self. Cela m'a confortée dans mon choix de devenir animatrice.


Impressions de stage : Hélène

J'ai effectué ma PFMP* à l'EHPAD* l'Eclaircie à Equevillon (Jura).

Cet établissement est privé et accueille des personnes âgées de 60 à 100 ans. Il y a 36 chambres dans la structure. Celle-ci propose 3 accueils de jour.



Lors de cette PFMP j'ai été dans deux services différents : une semaine et 2 jours avec le personnel ASH*, une semaine et 3 jours avec le personnel aide-soignant.



Durant ces trois semaines j'ai effectué les tâches suivantes :



ASH, Le matin :

Ramasser les plateaux du petit déjeuner, nettoyer les plateaux, nettoyer les chambres des personnes âgées, mise en place des salles de repas.

Le midi et après midi :
Servir le repas, débarrasser les tables, faire la vaisselle, nettoyer la cuisine ainsi que les salles de repas.


Fin d'après midi et soir :

Entretien des chambres des résidents plus une autre salle dont l'entretien m'était  attribué selon le jour de la semaine, mise en place des salles de repas, service du repas, vaisselle.



Aide soignant, Le matin :

Toilette des personnes, installation des personnes dans la salle commune.


Le midi et après midi :

Aide à la prise du repas pour les résidents qui en ont besoin. Les résidents qui souhaitent faire une sieste sont couchés, pour ceux qui le souhaitaient accompagnement aux toilettes, les personnes sont conduites dans la salle commune pour l'animation, distribution du goûter.



Le soir:

Débarrasser le goûter, finalisation de l'animation, aide au repas.





Mon stage m'a énormément plu car le côté relationnel est important avec les résidents qui sont très attachants. Au début de ma formation je n'étais pas sûre de ce que je voulais faire et de ma voie professionnelle mais maintenant je sais que je veux m'occuper des personnes de tout âge. Le plus difficile de mon stage, c'était de quitter les résidents dont je me suis occupée durant ces 3 semaines de PFMP*.




EHPAD: Établissement D'hébergement pour Personne Âgée et Dépendante.

PFMP: Période de Formation en Milieu Professionnel.
ASH : Agent de service hospitalier